Nos racines
PRÉSENTATION
D’où venons-nous ?
Marino Vanna, dont le solo No-Mad(e) avait impressionné lors du lancement de la saison 22-23, revient avec une nouvelle création soutenue par Le Carreau. Cette fois-ci, il s’associe à une autre danseuse ainsi qu’à une chanteuse pour une pièce destinée à être représentée en extérieur. Car avec Nos racines, le chorégraphe aux origines et parcours métissés s’interroge encore une fois sur son identité culturelle tout en reconnectant son introspection à la planète qui porte l’ensemble de l’humanité dans sa diversité : d’où l’envie de replacer ses mouvements au sein de la nature, dans le cadre d’une réflexion combinée sur le sens de la vie comme sur l’écologie. Il nous propose de nous reconnecter au vivant, en construisant à ses côtés une bulle de bien-être. Dans le cadre de ce passionnant projet, il a désiré prolonger son trio d’une forme interprétée par des danseurs et danseuses amateurs. Mais pas n’importe lesquels puisqu’il a choisi de collaborer avec des des sportifs et des sportives pour mieux sonder ce qui réunit mais aussi sépare des individualités qui placent la prouesse physique au cœur de leur pratique : les uns pour l’art, les autres pour la performance. Qu’est-ce que chacun peut apprendre à l’autre au travers de cet échange inédit ? Au moment où la France s’apprête à accueillir les J.O., voilà une belle occasion de leur faire un petit clin d’œil introductif !
Pour aller plus loin :
PRODUCTION Compagnie Marino Vanna / COPRODUCTION (en cours) Le Carreau – Scène nationale de Forbach et de l’Est mosellan, Laboratoire chorégraphique de Reims – AFA GRAND EST / SUBVENTIONNÉE PAR (en cours) ministère de la culture – DRAC Grand Est, Région Grand Est, Ville de Strasbourg, Collectivité européenne d’Alsace / AVEC LE SOUTIEN DU (en cours) Pôle Danse des Ardennes – Sedan, Service Universitaire de l’Action Culturelle de Reims Champagne-Ardenne, Collège Jean de la Fontaine – Geispolsheim, Service Universitaire de l’Action Culturelle – Strasbourg dans le cadre du dispositif Carte Culture
©Teona Goreci